"Jeanne avait toujours vu la révolution sous la forme d'une foule déchaînée, une image que certains, sur la place, taxaient de romantique. C'était pour elle une masse indistincte, tellurique. Elle n'associait pas Nuit debout à ce grand cataclysme, mais à un jardin d'asphalte où l'on se retrouvait pour perdre du temps ou apprendre. A bien... Lire la Suite →